Avec le départ de Nicolas Leriche et de Isabelle Ciaravola, une page s'est définitivement refermée à l'opéra de Paris. Si l'on ajoute à ces deux vides laissées par ces deux merveilleux artistes, le changement tarifaire honteux, le système de réservation déplorable et l'arrivée de Benjamin Millepied, on peut penser tranquillement aux philosophies orientales qui nous disent que tout est impermanence...
On constate alors que l'opéra de Paris, et son ballet, qui nous ont longtemps fait longtemps rêver, va à nouveau traverser une période de métamorphose.
Nul ne peut dire encore ce qu'il en sortira